L’homme aux furets, comme on l’appelle, va devoir s’expliquer sur la mort de Kristopher Aroui, un dimanche de février 2011 à la station Charpennes. Le procès s’est ouvert jeudi à Lyon. Les juges vont devoir déterminer la responsabilité de l’accusé âgé aujourd’hui de 50 ans. Ce jour-là, il était monté à bord d’un métro de la ligne A en compagnie de l’un de ses furets. Un animal qui aurait mordu un

Suite au décès du fonctionnaire en avril 2012, une perquisition avait été menée chez ce suspect. Les enquêteurs avaient alors retrouvé 4 kilos de cannabis à son domicile. La justice lyonnaise l’a condamné jeudi à quinze mois de prison ferme. Ecroué, il reste mis en examen pour la mort de brigadier-chef de 32 ans qui intervenait sur un cambriolage dans un magasin d’électroménager de St-Alban-Leysse

Depuis mardi, la cour d’assises du Rhône juge Stéphane Moitoiret et Noëlla Hégo pour le meurtre du petit Valentin en 2008 à Lagnieu dans l’Ain. Les deux accusés avaient écopé en 2011, respectivement à la prison à perpétuité et à 18 ans de prison. Jeudi, le rôle de Noëlla Hégo, accusée de complicité était étudié par la cour. La femme de 53 ans a toujours nié sa responsabilité dans le meurtre du pe

Moment d’émotion mardi au Assises du Rhône pour le 2e jour du procès en appel du meurtre du petit Valentin. La mère de l’enfant, tué de 44 coups de couteau, en 2008, à Lagnieu dans l’Ain, a témoigné de façon très digne. Elle a également pu échanger quelques mots avec le meurtrier de son fils. Stéphane Moitoiret qui s'est dit «touché» par son chagrin, mais qui a parlé une nouvelle fois de "destin".

Le détenu de 27 ans doit être présenté au parquet ce mercredi. Selon le Dauphiné, il sera ensuite jugé en comparution immédiate. Il avait agressé une surveillante la semaine dernière à la prison de Saint-Quentin-Fallavier avec une paire de ciseaux et avait été maîtrisé par deux autres surveillants, qui ont aussi été blessés. Lors du transfert du détenu vers quartier disciplinaire, ce dernier a dis

En avril dernier, le tribunal administratif de Lyon avait annulé la déclaration d'utilité publique des travaux d'extension du tramway T3 jusqu'à Décines, donnant ainsi raison aux recours des opposants Carton Rouge et Déplacements Citoyens. Mardi, la Cour administrative d'appel de Lyon a examiné les trois affaires concernant les appels formés contre ce jugement. A l'époque, le Grand Lyon avait ind

Ce mardi, la cour d’assises d’appel du Rhône rejuge le couple Moitoiret-Hégo, condamné en 2011 à la réclusion criminelle à perpétuité et à 18 ans de prison. Et les deux marginaux accusés du meurtre du petit Valentin, 10 ans, à Lagnieu dans l’Ain en 2008, ont servi au jury un numéro étonnant. Stéphane Moitoiret, particulièrement replié sur lui-même lors du procès de 2011, est apparu en forme ce mar

Ce mardi, le comité de soutien de Pascal Fauret et Bruno Odos a indiqué qu'une audience préliminaire aura lieu prochainement en République Dominicaine. Le 10 décembre, les deux pilotes auront l'occasion de se défendre pour la première fois depuis leur incarcération dans la prison d'Higuëy. Les deux pilotes lyonnais avaient été interpellés le 10 mars alors qu'il allait décoller de Punta Cana à bord

En avril dernier, le tribunal administratif de Lyon avait annulé la déclaration d'utilité publique des travaux d'extension du tramway T3 jusqu'à Décines, donnant ainsi raison aux recours des opposants Carton Rouge et Déplacements Citoyens. Ce mardi matin dès 9h, la Cour administrative d'appel de Lyon examinera les trois affaires concernant les appels formés contre ce jugement. A l'époque, le Gra

Le petit garçon de 10 ans avait été tué de 44 coups de couteau en juillet 2008 à Lagnieu dans l’Ain. L’enquête avait rapidement permis de se tourner vers un couple de marginaux, Stéphane Moitoiret et sa compagne Noëlla Hégo qui logeait la nuit du drame à la cure du village de Saint-Sorlin, près de la commune où Valentin faisait du vélo lors de sa disparition. Ils avaient finalement été interpellés

Le petit garçon de 10 ans avait été tué de 44 coups de couteau en juillet 2008 à Lagnieu dans l’Ain. L’enquête avait rapidement permis de se tourner vers un couple de marginaux, Stéphane Moitoiret et sa compagne Noëlla Hégo qui logeait la nuit du drame à la cure du village de Saint-Sorlin, près de la commune où Valentin faisait du vélo lors de sa disparition. Ils avaient finalement été interpellés

Les faits s’étaient déroulés en juin 2011 à Niévroz dans l’Ain. Maëlle, cinq ans, faisait du vélo quand un homme l’avait fait monter de force dans sa camionnette. La fillette avait finalement été retrouvée quelques heures plus tard. La procureure de Bourg-en-Bresse avait annoncé que Maëlle avait été agressée sexuellement et violée. L’agresseur présumé, un homme de 39 ans originaire de l’Isère, av

Ce jeudi, le tribunal de police étudiait le cas d'un ambulancier et de sa société Alternative Ambulance qui contestaient cinq des six PV reçus le 4 juillet dernier. Missionné par le Samu, l'ambulancier fonce à l'hôpital Saint-Joseph avec un patient âgé lorsque des policiers l'arrêtent et lui reprochent d'avoir installé et d'avoir utilisé des avertisseurs sonores et des feux spéciaux, d'avoir grill

La mère de Fiona, actuellement incarcérée à la prison de Corbas, et son compagnon Berkane Makhlouf seront confrontés à Clermont-Ferrand par les juges qui enquêtent sur la mort de la fillette de cinq ans. Cette confrontation avait été demandée par le parquet et par l'avocat du natif de Lyon Berkane Makhlouf depuis que la justice a requalifié les faits reprochés à la mère dans cette affaire. Pour r

Depuis le début de la semaine, neuf personnes (trois femmes et six hommes) devaient répondre de leurs actes devant la justice lyonnaise ; ils étaient poursuivis pour proxénétisme et traite d’être humains. Ce procès était la conséquence d’une enquête de près de deux ans et qui avait révélé au grand jour une filière de prostitution née en Bulgarie qui envoyait des jeunes femmes se prostituer en Belg

En avril dernier, le tribunal administratif de Lyon avait annulé la déclaration d'utilité publique des travaux d'extension du tramway T3 jusqu'à Décines, donnant ainsi raison aux recours des opposants Carton Rouge et Déplacements Citoyens. Ce mardi 12 novembre, la Cour administrative d'appel de Lyon examinera les trois affaires concernant les appels formés contre ce jugement. A l'époque, le Grand

Marc-Antoine Adam de Villiers est actuellement mis en examen pour "escroquerie en bande organisée". Il est écroué depuis le 18 octobre dernier et a déposé une demande de remise en liberté qui a été rejetée mardi par la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Lyon. Le grand-père de Marc-Antoine Adam de Villiers, l’auteur des SAS est décédé le 31 octobre dernier à l'âge de 83 ans. Ses obsèque

Mardi, le tribunal de commerce de Lyon examinait le plan de sauvegarde de la chaîne locale, présenté par l'administrateur judiciaire Me Bruno Sapin. Et la justice l'a accepté, ce qui met fin, pour trois ans, aux soucis financiers de TLM, placé en procédure de sauvegarde depuis le 27 novembre 2012. Un important travail de restructuration a déjà été effectué pour abaisser la masse salariale et les d

Ce mardi, une audience de conciliation avait lieu entre les 356 ex-salariés de Comareg et Hebdoprint et leur ancien employeur. Et le Groupe Hersant Médias ne les a pas convaincu. La justice se saisira alors du dossier avec une audience des prud’hommes de Lyon le 30 septembre 2014. Ces derniers s’exprimeront sur la validité du licenciement des anciens salariés de l’éditeur du journal gratuit Paru V

Un homme de 26 ans a été condamné à 6 mois de prison dont 4 avec sursis, en comparution immédiate. Le prévenu a été interpellé samedi soir à Villefranche-sur-Saône par la BAC. Au passage des policiers, il a fait mine de tirer avec un geste de la main. Lors de son interpellation, il a menacé de mort les fonctionnaires et se rebellait. L’individu a été écroué.

Le tribunal administratif de Grenoble a donné raison à une femme de ménage mise à pied à cause d’un blog porno. Des images pornographiques en provenance de son blog coquin avaient circulé dans le lycée de la Drôme où elle travaillait. La direction l’avait alors mise à pied pendant trois jours. Mais les juges grenoblois ont estimé que les photos avait été diffusées à son insu et qu'elle ne pouvait