L’immobilier lyonnais subit la crise mais s’en sort bien

Selon cette étude, l’an passé, une vente de logement neuf sur quatre n’est pas allée à son terme. Résultat : -25% sur les réservations de ventes nettes. C’est la méfiance des ménages à cause de la crise et le durcissement des conditions d’obtention des prêts qui seraient à l’origine de ce ralentissement. Malgré ce bilan plutôt morose, la demande reste très importante dans l’agglomération, notamment sur l’Est Lyonnais, ce qui fait que le Grand Lyon est l’une des communautés urbaines de France les moins touchées par la tendance nationale. Concernant les tarifs à Lyon, les prix dans l’ancien ont baissé de 3,1% alors que le prix du m² est resté stable à 3 661 euros.