L’immobilier reste très dynamique dans l’agglomération
Selon une étude de l’Observatoire du Cécim, en 2007 le nombre de vente de logement a dépassé pour la première fois la barre des 5 000.
Une hausse de 6% qui fait de la métropole le premier marché de France. Cette tendance s’explique par le grand nombre d’acquisitions faites par les jeunes et par des logements moins chers mis sur le marché. Et la hausse des prix tend à ralentir, à Lyon le mètre carré coûte 3 910 euros, c’est moins que Paris et Nice mais plus que Marseille, Toulouse ou Montpellier. Ce sont les quartiers de la Croix Rousse et de la Presqu’île qui restent les plus onéreux, loin devant les 5ème et 6ème arrondissements où les prix sont les plus bas.