C’est la crise chez les médecins généralistes

L’union Rhône-Alpes qui regroupe 6 000 praticiens tire la sonnette d’alarme.

Dans 10 ans la moitié d’entre eux seront à la retraite et leur remplacement ne semble pas certains. Loin de là même puisque cette spécialité est moins bien rémunérée que les autres et qu’elle demande plus d’heures de travail. Ce soir un débat devrait permettre d’interpeller les candidats à la présidentielle sur la désertification médicale à 20h30 au Novotel de Bron.