La chaîne régionale a reçu un mail menaçant vers 11 heures. Les locaux ont été évacués à 11 h 07 de même que le plateau, souligne Le Progrès.
Un fait qui n’est pas isolé : d’autres stations de France 3 ont été la cible d’alerte à la bombe cette semaine, comme à Strasbourg, Lille ou encore Amiens.
L’équipe de journalistes lyonnais qui travaillait sur le direct a pu réintégrer les lieux quelques minutes plus tard.
Toujours selon le quotidien, la chaîne ne pourra pas diffuser le journal de la mi-journée.