Ces perquisitions ont été menées dans le cadre de l’enquête sur quatre potentiels emplois fictifs de personnes, payés par la Région Auvergne-Rhône-Alpes, rapporte Radio France. Des collaborateurs du président de la collectivité, Laurent Wauquiez, qui travaillent ou travaillaient à Paris. D’après nos confrères, un doute sur leur investissement professionnel pour la Région avait été pointé du doigt.
Les perquisitions du Parquet national financier se sont ainsi déroulées au siège de l’association Régions de France ainsi que dans les locaux de la Région Auvergne-Rhône-Alpes à Paris.
Pour rappel, le cas le plus marquant concernerait une certaine Nawel G., qui aurait été déléguée régionale dans la capitale. Absente de l'organigramme, elle avait été signalée par les services administratifs de la Région. Elle avait finalement été licenciée début septembre.
Des "informations mensongères" avait réagi Laurent Wauquiez.