Ils réclament une hausse du tarif de consultation et une nette amélioration de leurs conditions de travail. Cet appel est soutenu par les syndicats Jeunes Médecins, l’Union Française pour une Médecine Libre (UFML) ou la Fédération des Médecins de France (FMF).
Mais cela divise puisque d’autres syndicats comme Avenir Spé ou la Confédération des Syndicats Médicaux Français (CSMF) ne veulent pas fermer les cabinets. Selon eux, les négociations en cours avec l’Assurance maladie sont en bonne voie.
Les déserts médicaux, de plus en plus présents, inquiètent fortement les médecins. Ces derniers sont par ailleurs opposés à ce que les infirmières puissent avoir la permission de prescrire.