En cause, un mouvement social lancé au niveau national. Ce sont les agents de sûreté qui entendent dénoncer la dégradation de leurs conditions de travail. Selon eux, des postes avaient été supprimés depuis le début de la crise sanitaire mais n’avaient pas été rétribués à la reprise de l’activité. Les grévistes demanderont aussi une hausse des salaires.
Conséquence du mouvement, le temps de passage aux points de contrôle devrait être rallongé alors que des queues se forment déjà en temps normal.