Selon le Progrès, les services de l'Etat travaillent en collaboration avec les équipes de la Métropole et de la Ville de Lyon. Ce seraient des radars qui flashent et entraînent une contravention, pas des radars pédagogiques.
Selon Valentin Lungenstrass, adjoint aux Mobilités interrogé par nos confrères, la mairie n'est visiblement pas favorable à cibler les axes aujourd'hui limités à 30km/h. Les radars verraient plutôt le jour là où des accidents ont été recensés, là où les véhicules peuvent prendre de la vitesse.
Reste à connaître les emplacements exacts mais aussi la période d'installation puis celle d'entrée en fonction de ces futurs radars.