Le mardi 13 novembre, trois individus ont été interpellés par la Sous-Direction antiterroriste à Saint-Étienne. Deux autres déjà incarcérés sont également placés en garde à vue.
Selon le Parisien, une partie de ces individus aurait eu l'intention de commettre un acte terrorisme le samedi 17 novembre. L'un d'entre eux aurait expliqué dans une conversation qu'ils voulaient profiter du "désordre engendré par les Gilets jaunes pour commettre un braquage". Ce que la Sous-Direction antiterroriste n'y croit pas "les juges antiterroristes sont convaincus que le petit groupe voulait commettre une attaque terroriste sur le sol français ce jour-là" .
Les enquêteurs ont eu connaissance d'un SMS de l'un des suspects indiquant à sa compagne : "Ça va saigner le 17 novembre". L'homme âgé de 25 ans était considéré comme le "mentor" du groupe et habitait dans la région lyonnaise. L'un des suspects aurait même cherché à se procurer une kalachnikov. L'enquête se poursuit.