Il est soupçonné d'avoir, le 11 novembre 2016, frappé à plusieurs reprises le jeune Vénissian à la tête à l'aide d'une béquille.
Marin, qui venait de défendre un couple chahuté parce qu'il s'embrassait, était alors passé tout près de la mort. Il lutte depuis pour retrouver une autonomie.
Le procès pour "violences avec usage ou menace d'une arme suivie de mutilation ou infirmité permanente" devrait se dérouler jusqu'à vendredi à huis clos.