Compte-tenu de la gravité de la maladie déclarée et du risque théorique, l’Agence Régionale de Santé a identifié les personnes ayant été au contact direct avec la salive ou les larmes de l’enfant, particulièrement sa famille, ses camarades proches et les soignants qui l’ont pris en charge. Toutes seront reçues par le centre antirabique de Lyon pour évaluer la nécessité d’une vaccination.
En France, 23 cas de rage ont été observés chez l’homme depuis 1970, tous ayant contracté la maladie à l’étranger.