Là encore, dans la darse du quartier à la pointe de la Presqu'île, ce bateau volant multiplie les allers-retours sous le regard étonné des badauds. Grâce à deux ailes se soulevant à la mise en route de l'engin aérodynamique, Seabubbles ne touche plus l'eau et donne l'impression de voler, évitant ainsi les effusions sonores. Et de frapper les vagues, ce qui occasionne le mal de mer.
Lyon pourrait se laisser tenter en 2018, avec des arrêts sur le Rhône.