Mais la mairie a subitement décidé de faire machine arrière.
Le Progrès révèle que seulement six berceaux avaient été loués l'an dernier par des salariés, et que 2017-2018 partait sur les mêmes bases. Soit un four total par rapport aux 190 berceaux mis à disposition initialement.
Mais surtout, la Ville avait fait face à une levée de boucliers de l'opposition. Et du préfet du Rhône qui avait assigné la mairie de Lyon devant le tribunal administratif. Le représentant de l'Etat contestait la légalité de l'acte et réclamait l'annulation de la délibération.