Ils ont appris que la contre-expertise réclamée par la famille de l’assassin présumé de leur fille avait permis de déclarer ce dernier pénalement irresponsable, son discernement étant aboli.
Le 12 septembre dernier, Manon, une lycéenne âgée de 16 ans, était frappée de plusieurs coups de couteau dans la cour du lycée Louis-Armand à Gleizé. Même lorsqu’elle s’était effondrée au sol. Son assassin présumé était venu avec trois couteaux ce jour-là. Sans montrer d’émotion, il avait expliquer au surveillant venu le maîtriser qu’il devait absolument passer à l’acter pour sauver son amie.