Il y a ceux qui ne sonnent pas pour remettre un colis, ceux qui se trompent d’adresse. Et il y a ceux qui respectent les règles, comme ce préposé des postes mercredi dernier à Saint-Priest. Il devait remettre le courrier d’un habitant de la rue Gallavardin, sauf que ce dernier a refusé de confirmer son identité.
Le facteur est alors reparti, non sans avoir été menacé de mort et bousculé.
Les deux protagonistes ont porté plainte, l’habitant expliquant avoir lui aussi été victime de violences selon le Progrès.
Mais sa version n’a pas trouvé l’écho nécessaire, il sera donc le seul à être jugé en octobre prochain.