Selon Midi-Libre, plusieurs interpellations ont eu lieu à Lyon, Tours, mais aussi en Bretagne, dans l'Aude et l'Hérault. L'enquête visait un vaste trafic d'armes. D'ailleurs, des munitions, des fusils à pompe et des pistolets automatiques ont été saisis lors des perquisitions.
La tête du réseau se trouvait à Narbonne, un ancien caïd fournissait des collectionneurs en leur revendant des armes démilitarisées, trafiquées pour fonctionner à nouveau. Il ne s'agirait donc pas d'armes destinées au grand banditisme, mais l'enquête ouverte pour trafic d'armes et de munitions en bande organisée et association de malfaiteurs devra s'en assurer.