En effet, l’homme avait déposé une demande de remise en liberté alors que son procès était prévu "avant l’été" selon Le Progrès. Cette demande, déposée en mars, n’avait toujours pas reçu de réponse après un mois. Ainsi, et comme la loi donne un délai de dix jours maximum, l’homme a été libéré d’office.
Il comparaitra donc libre à son procès.