Ce vendredi, le jugement a été rendu et il a été condamné à 3000 euros d’amende dont 1500 avec sursis. Il devra également verser 1000 euros de dommages et intérêts à chacune de ses deux victimes.
Ces dernières sont des collègues de la maison d’arrêt caladoise. Dans des courriels et des SMS, il les avait outragés, expliquant notamment que l’adjoint au chef de la détention avait été promu "en marchant sur les autres" tandis que la responsable des ressources humaines était une menteuse et une manipulatrice.
Le genre de conversations qui n’étaient pas restées au stade de la machine à café.