Le premier, un chauffeur, n’était pas présent à l’audience : il a quitté la France pour l’Algérie. Le second avait été malhonnêtement désigné par le premier comme étant son patron.
L’affaire remonte au 16 juin 2016, le chauffeur est contrôlé alors qu’il conduit un touriste qui a réservé la course via l’application Uber. Mais il se trouve que l’homme n’est pas inscrit au registre des VTC. Et qu’il gardait avec lui des armes prohibées : un poing américain, une bombe lacrymogène et une barre de fer.
De plus, il expliquait être salarié d’une entreprise de transport, ce qui était faux.
Le dirigeant de cette dernière était pourtant convoqué devant le tribunal mais a finalement été relaxé comme le préconisait sa défense.
Quant au chauffeur en cavale, il a écopé par défaut de 9 mois de prison avec sursis et 500 euros d’amende.