En effet, selon le recteur, "80% des fidèles ne parlent pas l’arabe littéraire que les imams utilisent lors des prières".
Pour le recteur, "on a l’impression que la personne est vraiment avec nous. Mais le problème est d’abord théologique puisque la présence physique est très importante avant, pendant, et après la prière ou des personnes qui traversent des moments parfois difficiles peuvent venir échanger".
Le projet n’est pour l’heure qu’une simple idée. Il faudra attendre que la technologie progresse pour que les coûts baissent.