Les forces de l'ordre lyonnaises étaient pourtant sur le qui-vive, redoutant des affrontements entre militants d'extrême-gauche et d'extrême-droite alors que Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon étaient en meeting à la Salle 3000 et à Eurexpo.
Finalement, il n'y a eu que 13 interpellation, toutes effectuées aux abords de la Cité Internationale. Seulement deux ont conduit à des gardes à vue. Le reste de ces anarchistes ont été contrôlés, voire rappelés à la loi pour ceux qui étaient en possession de stupéfiants.
De quoi rassurer le préfet qui avait déployé un dispositif de 550 policiers et gendarmes dans l'agglomération en cas d'affrontements, mais aussi d'attentat.