Au 4 janvier dernier, ce sont 1777 individus dont 585 dans le Rhône qui avaient été enregistrés dans le fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT).
L’état d’urgence qui a été mis en place dans la région depuis déjà plus d’un an a également permis 564 perquisitions administratives. Pour pallier à d’éventuels futurs risques terroristes plus 270 gendarmes sont venus renforcer les effectifs et près de 600 militaires sont déjà mobilisés dans la région.
Parmi les 200 personnes revenues de la zone irako-syrienne, 30 sont de la région Rhône-Alpes et 10 de région lyonnaise.