Arrêté le 26 octobre dernier pour dégradations et insultes envers des policiers, il devait faire l’objet d’une expertise psychiatre. Sauf que son rendez-vous a été annulé, il a donc dû être maintenu en détention plus longtemps que prévu.
Finalement diagnostiqué schizophrène, l’individu au casier judiciaire chargé était prêt pour son jugement. Sauf que son curateur n’avait pas été prévenu de l’audience ce mardi. D’où la nécessité de renvoyer le procès à fin janvier.
Selon le Progrès, le président du tribunal s’est bien rendu compte qu’il ne pouvait prolonger la détention du trentenaire au-delà de deux mois, la limite légale. Il a donc dû le remettre en liberté, en espérant qu’il se présente le 20 janvier au procès.