Cette nouvelle section a pour but de « constituer un maillon essentiel du corridor transeuropéen méditerranéen reliant la péninsule ibérique à l’Europe centrale et orientale », explique le Comité pour la Transalpine. Cependant, le syndicat Sud-rail n’est pas du même avis. En effet, selon eux, cette nouvelle portion ne permettra pas d’augmenter ces échanges, car elle ne répond pas à la même logique que les autres tunnels, suisses ou encore autrichiens.
Sud-rail demande donc de réutiliser l’argent de ce projet pour améliorer les systèmes déjà existants en région Auvergne-Rhône-Alpes, ainsi qu’un report modal. Ce dernier partirait depuis Ambérieu. Un projet qui rebute aussi les Italiens du parti populiste Mouvement 5 étoiles, qui avaient voté contre au début du mois de décembre.