Selon le Progrès, ce gestionnaire d’immeubles à Lyon remet en cause la vente de l’ex collège Serin mettant en avant plusieurs raisons, notamment le prix de cession jugé trop ou encore le manque d’informations de la municipalité. "A aucun moment, les candidats ont été informés des critères de sélection des offres", explique-t-il ajoutant que "le principe d’égalité de traitement des candidats ne semble pas avoir été respecté".
Après une première vente avortée en 2015, la Ville de Lyon avait fini par choisir un nouvel acquéreur en la personne des sociétés Arioste et Promoval pour une vente à 1 250 000 euros, et au bout une métamorphose totale des lieux avec une micro-crèche, un espace de co-working ou encore une résidence étudiante. Le début des travaux était prévu pour mai prochain, mais cette action en justice risque bien de retarder les délais.
Le riverain espère maintenant que sa cause trouvera un écho avec la mise en place d’une cagnotte participative sur internet pour financer le recours.