La ville syrienne connaît une situation plus qu’alarmante, et une partie de ses habitants attendent la reprise des évacuations par le régime de Bachar Al-Assad. La famine s’est installée sur place pour plusieurs dizaines de milliers de personnes tandis que l’armée syrienne rejette la faute sur les rebelles qui n’auraient pas respecté les conditions de leur accord sur le cessez-le-feu.
A Lyon, des anonymes, des ressortissants syriens, des politiques étaient présents. Et notamment le maire d’Alep-est, Brita Hagi Hasan. Sur leurs pancartes, on pouvait notamment lire "Liberté et dignité pour le peuple syrien" ou encore "Nous étions Charlie, nous étions Paris, nous étions Nice, pourquoi sommes-nous si peu Alep ?".
Partout en France et en Allemagne, des manifestations de ce type ont eu lieu pour soutenir Alep.