Les grévistes dénonçaient un problème de sécurité : "trop de policiers sont souvent en patrouille sans gilet pare-balles et sans arme de poing", expliquaient-ils dans un communiqué.
"Nous ne sommes pas une sous police", affirment les manifestants, qui estiment prendre "les mêmes risques sur le terrain que leurs homologues". C’est pourquoi ils demandent la généralisation de l’arme de poing et un armement 24h/24. Parmi leurs revendications : une revalorisation salariale ou encore accès aux fichiers de police.