Et n'avait ensuite jamais réglé la note, au grand désespoir de la gérante qui réclame le paiement de 1486 euros depuis novembre 2015.
Le nom d'Azouz Begag est apparu dans l'affaire, l'ancien ministre lyonnais était effectivement président d'honneur de l'association. Mais l'homme se défend aujourd'hui d'avoir participé à l'arnaque. Son nom aurait été frauduleusement utilisé par la vice-président d'Emir Abdelkader, qui est injoignable.
Azouz Begag évoquera cette affaire dans un livre "La faute aux autres" à paraître en janvier.