Les syndicats UNSA et FO, à l’origine de ce mouvement, entendent ainsi dénoncer le sentiment d’insécurité qui règne au sein de la prison lyonnaise ainsi que le manque d’effectif.
La semaine dernière déjà, un mouvement de grève avait touché l’établissement pénitentiaire, après l’agression d’un surveillant par un détenu.