L’annonce a été faite ce jeudi lors d’une conférence de presse. Par la voix de sa présidente, Corinne Morel, l’association, qui pour objectif de "défendre l’État de droit et l’égalité des droits, conteste au parti d’extrême-droite le droit d’utiliser son nom comme slogan : "Nous ne sommes pas liés à ce mouvement politique, l’association parle de ce qui est fait pour le peuple et non au nom du peuple".
L’audience aura lieu le 18 novembre prochain au tribunal de grande instance de Paris.
De son côté, le FN avait assuré le mois dernier avoir respecté les règles en déposant son slogan auprès de l’Institut National de la Propriété Intellectuelle.