Les manifestants entendaient défendre leur profession et dénoncer le "manque de considération de leur travail" : "Il est inacceptable que les salaires correspondent aujourd’hui à la grille des professions ayant un diplôme Bac+2 ou Bac+3 alors que les compétences des orthophonistes sont reconnues avec un grade Master Bac+5 depuis 2013", expliquaient-ils dans un communiqué.
Selon eux, ce "manque d’attractivité évident entraine une pénurie d’orthophonistes aux conséquences délétères sur l’accès aux soins".