Ils sont gracieusement alloués au chef de la police municipale et six de ses hommes de la brigade. Un privilège inacceptable pour l’Etat.
La Préfecture avait donc décidé de saisir le tribunal administratif car le maire de la commune, Roland Crimier, ne voulait pas mettre un terme à ces avantages.
Contacté, ce dernier affirme que ces logements font partie "du plan de sauvegarde en cas d’accidents liés aux risques technologiques et d’inondation. Qui plus est, ils sont placés sur des zones stratégiques comme devant une école, près de la marie ou non loin d’un stade de football".
Ce mercredi devant le tribunal administratif, l’affaire a été mise en délibérée.