Prévue fin 2017, cette cessation d'activité entraînera la suppression de 97 emplois. Si plus d'une trentaine de salariés devraient pouvoir bénéficier d'une pré-retraite avantageuse, les autres pourront bénéficier d'une prime de 45 000 euros. Qu'ils ne pourront toucher que s'ils s'engagent à ne pas attaquer Bosch aux prud'hommes.
Enfin, le Progrès indique que Bosch a confié à BoostHEAT le futur de l'usine. Cette start-up envisage d'y produire dès 2018 des chaudières thermodynamiques innovantes. Une cinquantaine de nouveaux emplois seront alors proposés en priorité aux anciens salariés de Bosch Vénissieux.