C’est ce qui ressort d’une étude publiée ce jeudi par l’INSEE mais également par la Dreal (Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement) et le Cerema (Centre d’études et d’expertises sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement).
En se consacrant à cette journée précise, l’étude en question met en avant d’autres données importantes. Cela concerne tout d’abord les horaires au cours desquelles la population lyonnaise est la plus touchée par les particules fines et c’est entre 10h et 11h que les pics de pollutions sont les plus importants. La concentration est également élevée entre 15h et 16h lors des premiers retours de travail. Les conditions météorologiques jouent aussi un rôle majeur dans les épisodes de pollution.
Les polluants atmosphériques sont également plus présents dans certaines zones de Lyon, notamment dans les quartiers de la Part-Dieu, Confluence, Gerland. Vénissieux, Saint-Fons et Pierre-Bénite sont aussi des communes les plus exposées.