Ils étaient 250 la semaine dernière à réclamer le départ d’Ali Bongo, le président contesté du pays africain.
Cet après-midi, ils étaient beaucoup moins réunis sur la place des Terreaux pour demander la fin des "massacres". Une saynète a été jouée pour sensibiliser les Lyonnais à la situation du Gabon.
"Ali Bongo assassin, voleur, dégage", indiquait la pancarte d’un manifestant.
Cet été, l'élection présidentielle a été à l'origine de violents heurts au Gabon. Les opposants à Ali Bongo, élu avec seulement 5594 voix d'avance sur Jean Ping, ont été confrontés aux forces de l'ordre. Des centaines d'arrestations et de morts sont à déplorer.