Mais la ministre de l'Education nationale, prochainement candidate à la députation à Villeurbanne, a nuancé sa position sur les arrêtés pris par des maires dans le sud de la France. Pour elle, leur "prolifération" n'est "pas la bienvenue". "Jusqu'où va-t-on pour vérifier qu'une tenue est conforme aux bonnes moeurs", a rajouté NVB sur Europe 1.
Quelques instants plus tard, Manuel Valls était lui l'invité de RMC. Et le Premier ministre n'a pas tenu le même discours au sujet de ces arrêtés qu'il ne considère pas comme "une dérive". "Ils ont été pris au nom même de l'ordre public", a répété Manuel Valls qui dit soutenir les élus concernés.