Pour l’aspect symbolique des choses. Car si François Devaux ne veut évidemment pas innocenter le père Preynat par sa décision, c’est justement pour dénoncer le système judiciaire. "Après six mois de combat pour la prise de conscience, la justice a décidé de dire continuez à procéder ainsi, vous ne risquez rien", a-t-il lâché amèrement au Progrès ce mercredi.
A 10 ans, l’individu se serait fait agresser sexuellement par le père Preynat. Aujourd’hui il est fort probable que l’homme saisisse un juge d’instruction directement via une plainte avec constitution de partie civile.