"Nous sommes en situation de guerre. Donc, par moment, il faut interdire des manifestations si les normes de sécurité ne sont pas respectées. [...] Il faut que chacun comprenne qu'on est dans cette situation et que ça entraîne parfois des contraintes", a-t-il déclaré au quartier Général-Frère, restitue l’AFP.
Suite à l’attentat de Saint-Etienne-du-Rouvray, le ministre de la Défense avait annoncé renforcer la sécurité lors des événements majeurs de l’été en établissant 23 500 gendarmes, militaires et réservistes sur tout le territoire.