En 2007, après avoir conclu un deal, les deux parties se quittent. Mais l'exploitant va rapidement déchanter lorsqu'il se rendra compte que ses serres, censées se fermer automatiquement en fonction des températures et ainsi protéger au mieux les récoltes face aux orages, ne fonctionnent qu'aléatoirement.
Et à l'été 2008, après un nouveau couac, EARL Limousin perd l'intégralité de ses récoltes. Une situation catastrophique, constatée par huissier de justice.
Face à la justice, l'exploitant a réclamé près de 50 000 euros à Microregul, pour couvrir le préjudice mais aussi l'installation de nouvelles serres.
La société s'est défendue en indiquant que l'exploitant ne lui avait jamais signalé les dysfonctionnements jusqu'aux orages de juillet et septembre 2008.
Le tribunal de commerce de Villefranche rendra sa décision le 6 octobre.