Il devait ensuite se rendre sur la place des Terreaux pour réaliser un concert. Selon lui, tout était autorisé par la préfecture.
D'où leur surprise lorsque les forces de l'ordre sont intervenues et ont embarqué une cinquantaine de militants.
"Menacées de garde à vue, ils étaient poursuivis pour discrimination économique. C’est le port d’un tee-shirt "Boycott Israël" ("Boycott Apartheid Israël") qui justifiait cette accusation !", indique le collectif dans un communiqué.
Les militants ont finalement été relâchés, sauf un. Sa libération et l'abandon des charges sont exigés par le collectif qui dénonce "la criminalisation des militants qui se battent pacifiquement pour les droits du peuple palestinien".
Dans un autre communiqué, le Parti de Gauche du Rhône a apporté son soutien aux militants et a rappelé "le droit au boycott".