La cour d’appel de Paris a confirmé ce vendredi la condamnation à deux mois de prison ferme de l’ex-leader des Jeunesses nationalistes.
"J'ai 5 jours pour faire un pourvoi en cassation... Pendant ce temps-la, la France crève. J'aurais dû être violeur plutôt que nationaliste. On prend moins de placard", a réagi Alexandre Gabriac sur Facebook.
A 25 ans, le banni du Front National et ancien conseiller régional en Rhône-Alpes passera par la case prison pour avoir organisé un rassemblement, une "révolte des soutiens" contre le racisme anti-blanc et les "zones de non-droit" en 2012. La préfecture de Paris avait pourtant interdit la manifestation.
Présent également lors de ce rassemblement, le nationaliste vénissian Yvan Benedetti avait lui écopé de 5000 euros d’amende.