Cette assistante maternelle était soupçonnée d'avoir brutalisé des enfants en bas âge qu'elle gardait à son domicile de Saint-Priest.
Les faits remontent à 2012, lorsque les parents des bébés âgés de moins de six mois avaient remarqué des traces de coups et des comportements étranges chez leur progéniture. Certains d'entre eux ont été par la suite condamnés pour diffamation après avoir dénoncé ces actes sur les réseaux sociaux.
Au final, la quinquagénaire, qui nie les faits, a écopé de 15 mois de prison avec sursis. Elle a également l'interdiction définitive d'exercer la profession d'assistante maternelle ou de baby-sitter.