Touchés par un plan social qui prévoyait la suppression de 591 postes, les salariés de Renault Trucks vont bénéficier de cette convention. Désormais, ce sont 480 postes qui sont concernés par le plan social mais il ne s’agira que de départs volontaires. "Nous comprenons qu’une entreprise doivent s’adapter au marché mais nous ne voulions pas de suppression sèche", explique Michel Delpuech, préfet de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Les salariés concernés seront donc accompagnés grâce à cet accord.
Cette convention est liée à un investissement de l’Etat de 1 500 000 euros sur une période de trois ans, pour favoriser le développement local des entreprises de la région. Ils seront donc utilisés pour des actions d’adaptations et d’insertions dans les entreprises. "Redynamiser le territoire est notre but premier avec cette convention", insiste le préfet.