Le 20 mai dernier, elle avait mis sa décision en délibéré tandis que le procureur avait requis la non-prescription des faits reprochés à l'homme saint, accusé par quatre plaintes (sur 67) d'agressions sexuelles sur mineur.
Ce vendredi ne sonnera pas forcément la fin du combat du père Preynat. Son avocat a annoncé son intention de se pourvoir en cassation en cas d'échec en appel. Voire d'aller jusqu'à la Cour européenne des droits de l'Homme.
Ce qui repoussera à nouveau la possibilité pour les victimes présumées de voir un jour le prélat être jugé.