Mais la semaine dernière, la première révolte centriste a été tuée dans l'oeuf. Le président de la Région Auvergne Rhône-Alpes a préféré mettre au ban le principal frondeur Louis Giscard d'Estaing avant que certains ne le rejoignent.
Au coeur des crispations : la maison d'Izieu et l'annonce de la baisse de la subvention régionale. Pour avoir publiquement pris la parole à ce sujet, Louis Giscard d'Estaing s'est attiré les foudres de son président. Et le conseiller régional UDI l'a payé en quelques jours, il semble définitivement sorti des petits papiers des Républicains.
Pour marquer leurs différences, les centristes - potentiellement renforcés par les élus MoDem - tenteront-ils de sitôt une nouvelle incartade ? Il faudra cette-fois être mieux préparés, et en nombre.