Cet arrêté avait été signé par Michèle Picard, au lendemain de la fin de la trêve hivernale, mais contesté aussitôt par la Préfecture du Rhône.
La maire communiste de Vénissieux empêchait également les coupures d’eau, de gaz et d’électricité, ainsi que les saisies mobilières sur le territoire de sa commune.
Les expulsions locatives devraient donc reprendre prochainement, mais Michèle Picard affirme, dans un communiqué, que "le combat contre l’injustice et l’indignité nationale continue".