Selon France 3, c’est parce que l’individu qui a porté les coups n’a pas été interpellé que ses collègues ont stoppé leur travail. Au total, une quarantaine de chauffeurs ont dénoncé leurs conditions de travail, provoquant l’arrêt complet de 8 lignes de bus durant près de trois heures.
Pour les syndicats, le problème du C3 est connu de tous et depuis longtemps. Mais la direction de Keolis ne leur a jamais apporté de réponses satisfaisantes.
Après l’intervention d’agents TCL et de policiers pour faire revenir l’ordre à la gare routière Laurent-Bonnevay, les chauffeurs ont repris leurs bus.
Mais espèrent que Keolis réagira dans la semaine à l’occasion d’une réunion exceptionnelle avec les représentants de salariés.