L’homme avait écopé d’une suspension de 4 mois en attendant que l’enquête avance. Car le 14 avril, l’un de ses élèves avait découvert des photos pornographiques, renvoyées par des liens sur le site pédagogique de l’instit. Ce dernier leur avait d’ailleurs recommandé de se rendre sur ledit site durant leurs vacances.
En plus de la suspension, l’Education nationale avait immédiatement porté plainte contre X et saisi le procureur.
De son côté, l’instituteur s’était défendu face aux enquêteurs. Aux gendarmes, il avait expliqué que les liens n’avaient pas été vérifiés depuis l’an dernier. Il suspectait alors que les noms de domaine des sites initiaux aient été récupérés par des hébergeurs de photos X. Une pratique courante et qui a convaincu le procureur de la République qui a classé l’affaire.