Invitée à réagir aux rumeurs sur une éventuelle démission de Manuel Valls, Najat Vallaud-Belkacem a été cash : "Ca fait bientôt 20 ans que je fais de la politique, je ne me suis jamais prêtée aux bruits de chiotte qui consistent à raconter des choses".
Avant d'être coupée par un journaliste qui n'en croyait pas ses oreilles.
Le terme "bruit de chiottes", dont beaucoup s'étonnent sur les réseaux sociaux de l'avoir entendue dans la bouche d'une ministre de l'Education nationale, par ailleurs anciennement chargée des droits de femme en ce 8 mars.
Il n'est finalement pas si anodin et semble être monnaie courante dans l'entourage de Manuel Valls et de Najat Vallaud-Belkacem.
Déjà en février, le journaliste du JDD Alexandre Duyck publiait "La République des rumeurs", un ouvrage dans lequel "un proche du Premier ministre" parlait de "bruits de chiotte" concernant la rumeur d'une amourette entre le chef du gouvernement et NVB.
Mais alors qui de Najat Vallaud-Belkacem, Manuel Valls ou l'entourage des deux ministres a lancé en premier la mode des bruits de chiotte ?